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Lendemains d'élections et compteurs intelligents
 Cela a fait une semaine ce lundi (14 avril) que le Parti libéral du Québec (PLQ) a été élu pour former un gouvernement majoritaire. Le 7 avril, les électeurs québécois ont mis fin au bref séjour de 19 mois des libéraux sur les banquettes de l'Opposition officielle; lequel séjour s'est soldé par la plus cuisante défaite électorale de l'histoire du Parti québécois (PQ) qui sera ainsi privé du pouvoir pour les quatre prochaines années.
Au moment d'écrire ces lignes, le Québec ignore encore quelle sera la composition du prochain conseil des ministres et même à quelle date précisément se déroulera la passation des pouvoirs entre le gouvernement péquiste sortant de Pauline Marois et le futur gouvernement libéral que dirigera le nouveau premier ministre Philippe Couillard. Difficile encore plus d'anticiper quelles décisions prendront les libéraux en matière hydroélectrique et énergétique.
Nous sommes déjà à la mi-avril et, le temps que le nouveau titulaire du ministère des Ressources naturelles soit nommé, assermenté et bien au fait de ses dossiers, il serait surprenant que voir le gouvernement libéral accoucher d'une Politique énergétique pour le Québec avant l'automne prochain au moins. Les péquistes, eux, voulaient normalement dévoiler cette politique ce printemps et cela à la suite de consultations menées à travers le Québec l'automne dernier. Cependant, l'arrivée du nouveau gouvernement modifiera obligatoirement ce calendrier et il serait fort surprenant de voir ce gouvernement procéder au dévoilement d'une telle politique en pleine saison hivernale, d'autant plus qu'il bénéficie d'un mandat de quatre ans pour mener à terme ce dossier.
C'est plutôt le dossier des compteurs intelligents d'Hydro-Québec qui risque de retenir l'attention du nouveau gouvernement ces jours-ci, en raison d'une récente manifestation tenue samedi dernier (12 avril) devant le siège social de la Régie de l'énergie au centre-ville de Montréal par le mouvement «Refusons les compteurs» constitué de plusieurs collectifs citoyens qui s'opposent à l'installation de ces compteurs émettant des radiofréquences et que ces citoyens estiment néfastes pour la santé humaine.
Ces manifestants ont entre autres demandé au premier ministre nouvellement élu de décréter un moratoire pour reporter les phases 2 et 3 d'installation de ces compteurs par Hydro-Québec dans l'ensemble de la province (voir autre texte sur la phase 1 dans le présent bulletin électronique). Reste à voir comment se positionnera le futur gouvernement Couillard dans ce dossier.
Pour me faire part de vos commentaires et opinions, n'hésitez pas à m'écrire à : ecloutier@annexweb.com. Bonne lecture!
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• Énergie verte
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• Et la gamme des sujets habituels dont les acteurs de l'industrie parleront sous peu : les nouveaux produits, nouvelles de l'industrie et un calendrier, des événements, des formations où aller et des gens à rencontrer.
NOUVELLES DE L'INDUSTRIE
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Innergex est responsable de la gestion de la construction et de l'exploitation du parc éolien.
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Innergex et les Mi'gmaq s'entendent pour 20 ans avec Hydro-Québec pour un projet éolien de 150 MW en Gaspésie
Innergex énergie renouvelable et les Mi'gmaq ont ratifié un contrat de 20 ans avec Hydro-Québec Distribution, via Parc éolien Mesgi'g Ugju's'n (MU), pour l'achat d'électricité en vue d'un projet éolien de 150 MW situé en Gaspésie. L'entente entre MU et Hydro-Québec Distribution a été annoncée le 24 mars.
L'entité MU est contrôlée à 50-50 par Innergex et par les trois communautés Mi'gmaq du Québec : Gesgapegiag, Gespeg et Listuguj. Innergex est responsable de la gestion de la construction et de l'exploitation du parc éolien Mesgi'g Ugju's'n de 150 MW. Ce projet se trouve sur des terres publiques situées dans la Municipalité régionale de comté (MRC) d'Avignon et sa production moyenne à long terme annuelle est estimée à environ 515 000 MWh, ce qui suffira pour alimenter plus de 30 000 foyers québécois chaque année.
«Nous sommes honorés et fiers d'avoir été choisis par les communautés Mi'gmaq du Québec pour développer conjointement ce projet d'énergie éolienne; la signature d'un contrat d'achat d'électricité constitue une étape importante dans la progression de son développement», déclare Michel Letellier, président et chef de la direction d'Innergex, par voie de communiqué.
«Ce projet est significatif pour le développement socio-économique des communautés Mi'gmaq de Gesgapegiag, Gespeg et Listuguj. Il créera de la richesse et des emplois non seulement pour nos membres, mais aussi pour nos voisins en Gaspésie et ailleurs au Québec. Nous envisageons de grandes perspectives d'avenir», indique, de son côté, le chef Claude Jeannotte, président du Mi'gmawei Mawiomi, l'assemblée qui regroupe les trois communautés Mi'gmaq situées sur le territoire du Gespe'gewa'gi.
L'étude d'impact sur l'environnement du projet est terminée et a été soumise au ministère du Développement durable, de l'Environnement, de la Faune et des Parcs selon Innergex. Des journées portes ouvertes ont eu lieu et une séance d'information a été tenue en février dans le cadre de la période d'information prescrite par le Bureau des audiences publiques sur l'environnement (BAPE).
MU et Hydro-Québec négocient actuellement l'achat de turbines avec des fournisseurs potentiels et prévoient amorcer les activités de préconstruction, entre autres le déboisement, à la fin de 2014 dès que les autorisations auront été reçues. La construction, elle, commencera en 2015. Les partenaires prévoient mettre en service le parc éolien à la fin de 2016.
«Les coûts du projet sont estimés à l'heure actuelle à environ 365,0 M$ et seront financés dans une proportion d'environ 80 % avec une dette liée au projet sans recours, à taux fixe. À cette fin, les partenaires ont entamé un programme de couverture afin de fixer le taux d'intérêt de base jusqu'à la clôture du financement de projet, au moyen d'instruments financiers dérivés», ajoute Innergex. www.innergex.com
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Le logo de Schneider Electric.
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Schneider Electric et Guillevin International déploient 25 bornes de recharge de VE au Québec et en Ontario
Schneider Electric, spécialiste mondial de la gestion énergétique, et Guillevin International, une multinationale de l'approvisionnement et de la distribution de produits, ont annoncé, le 3 avril, que 25 bornes de recharge de véhicules électriques (VE) seront installées en Ontario et au Québec, notamment dans la Vallée de l'Outaouais. Il s'agit de bornes de marque EVLink fabriquées par Schneider Electric.
Ces bornes se trouvent dans les grands centres urbains et sont accessibles aux usagers sans frais. Certaines d'entre elles se trouvent dans les grands centres urbains de Montréal, Québec, Laval et Gatineau, ainsi qu'à Ottawa et Cornwall en Ontario.
«Schneider Electric s'engage à collaborer avec les innovateurs et chefs de file canadiens pour offrir une source d'énergie sûre, fiable, efficace, productive et écologique. Le gouvernement du Québec, qui a investi récemment dans la technologie des véhicules électriques, démontre également sa volonté de s'engager dans cette voie. Nous sommes fiers d'offrir aux résidents du Québec et de la vallée de l'Outaouais, en collaboration avec Guillevin International, nos bornes de recharge de véhicules électriques EVLink, qui sont à la fine pointe de la technologie», indique Neil Joseph, directeur de la commercialisation, Schneider Electric Canada, par voie de communiqué.
«Guillevin International est fière de contribuer avec Schneider Electric à un environnement plus propre et plus sain pour les Québécois. L'installation de 25 bornes de recharge EVLink de Schneider Electric dans les grands centres urbains témoigne de notre engagement dans ce secteur, tout comme notre décision d'offrir ce service gratuitement aux usagers», renchérit, pour sa part, Denis Philbert, vice-président et directeur général, région de l'Est, Guillevin International.
Cette annonce s'inscrit dans la foulée de celle faite par l'ancien gouvernement Marois qui, en novembre dernier, a dévoilé un plan d'électrification des transports de 516 millions de dollars. Ce plan prévoyait des rabais à l'achat d'un véhicule électrique et des subventions au développement de l'industrie. Le gouvernement comptait également dépenser 15 millions de dollars pour l'installation de 5 000 nouvelles bornes de recharge publiques. Le gouvernement péquiste visait un objectif de 12 500 véhicules électriques dans la province d'ici 2017.
«Les bornes EVLink de Schneider Electric sont faciles à utiliser et rapides à installer. Elles offrent une solution pratique de recharge à domicile pour véhicules électriques. Elles sont conçues pour fournir une charge illimitée chaque jour et sont dotées d'une protection électrique évoluée. Une borne de recharge de 30 A de niveau 2 EVLink EV230WS de Schneider Electric est installée dans chaque emplacement choisi pour le déploiement. La borne EV230WS peut recharger la batterie d'un véhicule en 4 à 6 heures en moyenne», précise-t-on dans le communiqué.
www.schneider-electric.com/ca, www.guillevin.com
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Hydro-Québec a installé près de 1 400 000 compteurs depuis le début du projet de déploiement des compteurs de nouvelle génération.
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Hydro-Québec a installé 80% des 1,7 million de compteurs de nouvelle génération
Ce sont près de 1 400 000 compteurs qu'Hydro-Québec a installés depuis le début de son projet de déploiement des compteurs de nouvelle génération. Du même coup, la société d'État a déjà mis en service plus de 80 % des 1,7 million de compteurs de la phase 1 de ce projet chez ses clients de la grande région métropolitaine de Montréal. Cette phase se termine en juin 2014.
«Rappelons qu'il s'agit d'une modernisation devenue nécessaire du parc de compteurs appartenant à Hydro-Québec, principalement constitué d'appareils électromécaniques. Plus de 120 millions compteurs de nouvelle génération ont déjà été installés dans le monde, faisant de cette technologie la norme de l'industrie», a indiqué Hydro-Québec, le 9 avril, par voie de communiqué.
«Le déploiement de la nouvelle technologie se déroule très bien, et les installateurs constatent une réaction positive sur le terrain. À cet effet, le taux de refus du nouveau compteur se maintient à moins de 0,4 %», renchérit Hydro, en affirmant que les compteurs de nouvelle génération s'avèrent sécuritaires et que «contrairement à ce que suggèrent certaines rumeurs», Santé Canada, la Direction de santé publique et la Société royale du Canada «concluent que les compteurs ne posent pas de risques pour la santé».
Quant aux audiences publiques visant l'autorisation des phases 2 et 3 du déploiement des compteurs de nouvelle génération, elles ont également commencé le 9 avril à la Régie de l'énergie. Si la Régie approuve ces deux nouvelles phases, le Québec au complet sera couvert d'ici 2018 et le total des compteurs installés s'élèvera à 3,8 millions. www.hydroquebec.com
Un accès simplifié aux produits de GE Solutions Industrielles
GE Solutions Industrielles vient de rendre plus simple l'accès à ses produits pour ses clients industriels au Canada. Depuis le 2 avril officiellement, la compagnie offre ses solutions avancées directement à ses clients par le biais de ses partenaires de distribution autorisés dans les différentes provinces du pays, tout en leur proposant la coordination des produits et le soutien local en un seul endroit.
«Ce changement est un renforcement de notre engagement envers nos partenaires de distribution stratégiques afin d'élaborer une expertise et des ressources dans les régions géographiques clés. C'est le moment idéal pour aborder le segment du marché industriel par l'entremise des distributeurs locaux», déclare Adrian Thomas, cadre supérieur de Solutions industrielles GE au Canada, par voie de communiqué.
Autrement dit, ce changement signifie que ces clients pourront désormais accéder à la gamme complète des produits de GE Solutions Industrielles dans toutes les régions desservies par les partenaires de distribution autorisés par la compagnie. Pour plus de renseignements sur les régions du Québec où sont offert ces produits industriels, il suffit de visiter le site Web www.geindustrial.com/wheretobuy/product/canada.
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Le Syndicat professionnel des ingénieurs d'Hydro-Québec célèbre ses 50 ans de fondation. (Groupe CNW/Syndicat professionnel des ingénieurs d'Hydro-Québec (SPIHQ))
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Le SPIHQ a célébré ses 50 ans le 1er avril
Le Syndicat professionnel des ingénieurs d'Hydro-Québec (SPIHQ) a célébré son 50e anniversaire de fondation le 1er avril. Le SPIHQ avait été fondé en 1964 par le regretté ingénieur Jean-Guy Rodrigue et d'autres de ses collègues qui en ont fait le plus important syndicat d'ingénieurs au Québec et au Canada.
Ce syndicat indépendant «se distingue des autres syndicats par son accréditation législative qui lui permet d'inclure les ingénieurs cadres de premier niveau, mais aussi par le fait qu'il échappe aux juridictions traditionnelles en représentant des personnes, et non des postes» peut-on lire dans un communiqué.
Le SPIHQ, qui a signé sa première convention collective en 1966, s'est avéré le premier syndicat à introduire l'horaire variable dans la société d'État au début des années 80. Cela «a ouvert la porte à une nouvelle ère de conciliation travail-famille», lit-on encore.
Les objectifs des fondateurs du SPIHQ visaient et visent encore à améliorer les conditions de travail des ingénieurs, à sauvegarder leur intégrité professionnelle et leur donner une voix dans les débats de société.
«Les ingénieurs ont contribué à l'essor d'Hydro-Québec et de la société québécoise, par la définition de solutions techniques avant-gardistes, dont les lignes de transport à 735 kV, les grands barrages et bien d'autres. Hydro-Québec continue de bénéficier de cette notoriété encore aujourd'hui», poursuit le SPIHQ.
«Les ingénieurs sont au cœur de l'entreprise, ils sont des professionnels et ils continueront à faire progresser Hydro-Québec» souligne Carole Leroux, ingénieure et présidente de ce syndicat.
Mentionnons enfin que le SPIHQ s'affaire à défendre et développer les intérêts économiques, sociaux, moraux et professionnels de ses quelque 1 800 membres. www.spihq.qc.ca
L'ACÉ suggère l'adoption urgente de mesures pour assurer la fiabilité du réseau électrique canadien
L'Association canadienne de l'électricité (ACÉ) a publié, le 25 mars, Vision 2050 : L'avenir du réseau électrique du Canada, un rapport évoquant l'urgence d'adopter des mesures pour maintenir la fiabilité, la viabilité financière et la durabilité du réseau électrique dans l'ensemble du pays. L'ACÉ suggère au gouvernement canadien d'élaborer des politiques ou d'investir continuellement dans les infrastructures pour parvenir à cet objectif.
«Notre pays atteint des sommets inégalés jusqu'ici en ce qui concerne les investissements de capitaux visant à moderniser son réseau électrique. Mais le remplacement des infrastructures se fait très lentement, et les délais de planification sont longs. Ce sont donc les décisions prises aujourd'hui qui façonneront le réseau de 2050», a déclaré M. Jim Burpee, le président-directeur général de l'Association canadienne de l'électricité.
«D'ici à 2050, la plupart des installations électriques auront été rénovées ou remplacées. Le document Vision 2050 présente les possibilités qui pourraient se présenter si l'on décidait, maintenant ou plus tard, de renouveler les infrastructures. Il présente la volonté de créer la meilleure valeur possible et de veiller à ce que le réseau électrique contribue à une économie plus faible en carbone. Il répond aux attentes croissantes des consommateurs qui souhaitent disposer d'un réseau électrique plus réactif et plus novateur, et il propose un rôle nouveau et plus ambitieux pour l'électricité au Canada», souligne l'ACÉ dans un communiqué.
Les recommandations formulées par l'ACÉ sont destinées «aux gouvernements, aux organismes de réglementation, aux entreprises d'électricité et au grand public dans quatre champs de possibilités qui pourraient permettre de changer le réseau de manière radicale», indiquer l'association, en spécificaint que ces quatre recommandations ne sont toutefois rédigées uniquement qu'en anglais. Ces quatre suggestions portent sur l'innovation et la gestion de l'énergie par le consommateur, les possibles instruments financiers visant à réduire les émissions de carbone, les véhicules électriques et la collaboration transfrontalière.
«Les choix dont nous disposons aujourd'hui ne dureront pas éternellement. L'heure est venue d'agir de façon coordonnée et proactive afin de renouveler le réseau d'électricité de notre pays, et ainsi de veiller à ce qu'il soit sécurisé et fiable pour nos enfants et nos petits-enfants», conclut M. Burpee. www.electricity.ca/accueil.php, vision2050.ca
NOUVEAUX PRODUITS
 Caméras infrarouges avec mise au point automatique LaserSharp
Les nouvelles caméras infrarouges Ti200, Ti300 et Ti400 prétendent offrir une connectivité et une précision pour maximiser la productivité sur le terrain grâce à leur mise au point automatique LaserSharp : un laser pour identifier où la caméra devrait se concentrer. Les caméras se relient au système sans fil Fluke CNX, leur permettant d'être utilisées comme unité principale pour voir les mesures en direct de cinq modules sans fil ou moins (courant alternatif ou tension) sur son écran, et d'intégrer les données à l'image infrarouge. Les images des caméras peuvent être directement transférées à un PC, iPad ou iPhone, pour ensuite être importées dans le logiciel SmartView de Fluke pour produire des rapports. FLUKE
NEMA publie le document ADP 2-2013 sur les tests des disjoncteurs
La National Electrical Manufacturers Association (NEMA) a publié le document technique NEMA ADP 2-2013 Molded Case Circuit Breaker Systems Testing with Conductors visant à effectuer des tests sur les disjoncteurs à boîtier moulé en présence de conducteurs, en particulier les câbles isolés, pour démontrer leur protection. Les tests standard (tels que définis dans la norme UL 489) comprennent des essais thermiques et de surcharge, d'endurance suivis de coupure par faibles courts-circuits, et de coupure par faibles courts-circuits standard. NEMA
 Platinum Tools a mis à niveau son testeur T62 Recon avec le connecteur RJ11/12
Platinium Tools a mis à niveau son testeur Recon (p/n T62), lequel inclut maintenant un nouveau boîtier de protection et un connecteur sans échec (6x6) RJ11/12, permettant de faire des tests sur des lignes téléphoniques sans adaptateur modulaire (banjo). Il renferme également plus de conditions de ligne et de renseignements sur l'état que n'importe quel autre testeur de ligne téléphonique au monde. Le T62 offre un menu pour mesurer les données, surveiller activement et détecter les hautes tensions de ligne. En outre, la caractéristique Digi-Secure aide à protéger les lignes numériques des coupures provoquées par des équipements d'essais extérieurs. PLATINUM TOOLS
CALENDRIER
Assemblée Électro-Fédération Canada, 16 avril. Assemblée générale annuelle de l'Électro-Fédération Canada au Pearson Convention Center, à Brampton, Ont.
Congrès annuel, AQME, 7 - 9 mai. Le 28e Congrès annuel de l'Association québécoise pour la maîtrise de l'énergie aura lieu à l'hôtel Le Victorin de Victoriaville.
Sommet de l'énergie 2014, 14 - 15 mai. Le Sommet se tiendra à Niagara Fall, au Sheraton On The Falls Resort Hôtel & Conference Center.
Tournoi de golf de l'EFC pour la région du Québec, 20 mai. Le tournoi aura lieu au Club de golf Hillsdale de Mirabel.
Conférence annuelle de l'EFC, 27 - 30 mai. La conférence se déroulera cette année à l'Hôtel Fairmont Le Reine Elizabeth de Montréal.
Conférence annuelle Lightfair, 1 - 5 juin. La conférence annuelle sur l'éclairage aura lieu à Las Vegas, Nevada.
Olympiades Skills/Compétences Canada, 4 - 7 juin. Les 20e Olympiades canadiennes des métiers et des technologies, pour les jeunes qui compétitionnent dans les métiers spécialisés, auront lieu à Toronto, Ontario.
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