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L'industrie électrique bulletin

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Tapis rouge pour Enerkem

Eric CloutierAprès s'être fait un nom en utilisant une technologie brevetée pour convertir les déchets solides municipaux (DSM) non recyclables en biocarburants et produits chimiques renouvelables, voilà qu'Enerkem, une société fondée en 2000 et dont les quartiers généraux se trouvent à Montréal, a fait son entrée par la grande porte dans l'univers de l'électricité, hier (14 juillet). Le ministre de l'Énergie et des Ressources naturelles et ministre responsable du Plan Nord, Pierre Arcand, a déroulé le tapis rouge en lui offrant un octroi d'un million de dollars pour mener à bien un projet de démonstration de production d'électricité renouvelable à partir de biomasse résiduelle au cours des trois prochaines années (voir autre texte dans le présent bulletin électronique).

La nouvelle a de quoi réjouir d'autant plus que cette jeune société, que d'aucuns considèrent comme un fleuron de l'économie verte au Québec, a progressé rapidement au cours de 14 dernières années et fait avantageusement sa marque au pays en adoptant des mesures écologiques remarquées.

Pour en revenir à Enerkem qui exploite deux usines au Québec, soit une usine pilote à Sherbrooke et une usine de démonstration à Westbury respectivement inaugurées en 2003 et 2007, cette société embauche aujourd'hui 150 personnes et a toujours eu recours à des biomasses composées de résidus pour produire de l'éthanol et des produits chimiques renouvelables et utilisés dans plusieurs types d'applications industrielles et de consommation plutôt que d'utiliser le pétrole et le gaz naturel.

En 2008, Enerkem a conclu une entente avec la ville d'Edmonton, en Alberta, pour construire la première usine commerciale de production d'éthanol à partir de déchets municipaux.

Et même si l'ouverture de l'usine albertaine a été reportée trois fois depuis 2011 avant d'être finalement inaugurée en juin dernier et qu'Enerkem est poursuivie par une dizaine de ses 186 fournisseurs qui ont pris des hypothèques légales pour lui réclamer plusieurs millions de dollars impayés à la suite de sa construction, les autorités municipales d'Edmonton ne s'inquiètent nullement de cette situation. Il faut dire que cette tache au dossier d'Enerkem reste somme toute mineure dans l'histoire de cette société. Cette-ci a été nommée par The Guardian parmi les cent meilleures entreprises du secteur des technologies propres dans le cadre du classement Global Cleantech 1008 en 2010 et 2012.

Au cours des années 2009, 2010, 2011 et 2012, Enerkem s'est constamment retrouvée parmi les lauréats du concours 50 Hottest Companies in Bioenergy organisé par Biofuels Digest, tandis qu'elle a figuré parmi les 50 compagnies les plus innovatrices au monde selon un palmarès établi par le magazine Fast Company en 2011.

Pour me faire part de vos commentaires et opinions, n'hésitez pas à m'écrire à : ecloutier@annexweb.com. Bonne lecture!


À venir dans la version imprimée

• Énergie verte
• Formation
• Et la gamme des sujets habituels dont les acteurs de l'industrie parleront sous peu : les nouveaux produits, nouvelles de l'industrie et un calendrier, des événements, des formations où aller et des gens à rencontrer.


NOUVELLES DE L'INDUSTRIE

L'usine de démonstration d'Enerkem, pouvant produire de l'éthanol cellulosique à partir de déchets, se trouve à Westbury, dans les Cantons-de-l'Est. (Photo : Site Web d'Enerkem)

Québec octroie 1 million $ à Enerkem pour un projet de production d'électricité renouvelable

Le gouvernement du Québec a octroyé hier (14 juillet) 1 million $ à Énerkem, une société produisant des biocarburants et des produits chimiques renouvelables à partir de matières résiduelles, pour aider celle-ci à réaliser un projet de démonstration de production d'électricité renouvelable à partir de biomasse résiduelle. Ce projet sera mené sur trois ans à l'usine d'Enerkem à Westbury, en Estrie, et la compagnie pourrait investir, elle-même, jusqu'à 6 millions $ dans celui-ci afin d'évaluer le potentiel de la mise en œuvre d'une technologie du genre dans des régions éloignées telles que le Nord-du-Québec entre autres.

L'initiative s'inscrit dans le programme Technoclimat qui encourage le développement de nouvelles technologies ou de procédés innovateurs en matière d'efficacité énergétique, d'électrification des transports et d'énergies émergentes pour permettre la réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES). Un budget de près de 55 million $ est prévu pour soutenir les mesures de ce programme dans le cadre du Plan d'action 2013-2020 sur les changements climatiques et pour permettre la création de 1 500 emplois. Le député de Mégantic, Ghislain Bolduc, a procédé à cette annonce au nom du ministre de l'Énergie et des Ressources naturelles et ministre responsable du Plan Nord, Pierre Arcand.

«Enerkem est une entreprise dont la mission est de fabriquer des biocarburants et des produits chimiques verts, à partir de déchets plutôt que de pétrole. La chimie verte aide les communautés à se développer de façon durable et contribue aux objectifs de diminution des gaz à effet de serre que s'est fixés notre gouvernement. L'utilisation de cette technologie pour la production d'électricité renouvelable décentralisée pourrait représenter un grand potentiel de déploiement», a souligné M. Bolduc.

Par le biais de cette subvention, Enerkem veut démontrer la viabilité à l'échelle industrielle d'une production d'électricité à partir de biomasse résiduelle pour des centrales électriques décentralisées en régions éloignées.

«Ce projet démontre la volonté d'Enerkem de continuer d'innover en développant de nouveaux produits à partir de sa plateforme technologique innovatrice», a indiqué Vincent Chornet, président et chef de la direction d'Enerkem.

L'entreprise souhaite voir si son système de production d'électricité renouvelable peut être efficace et veut en évaluer le potentiel de mise en œuvre dans des régions éloignées telles que le Nord-du-Québec entre autre, pour éventuellement remplacer des unités fonctionnant au diesel. Ressources naturelles Canada finance également une partie de ce projet via son programme Initiative écoÉNERGIE sur l'innovation.


«En soutenant un tel projet, nous nous attaquons concrètement aux défis posés par la dépendance à l'égard du pétrole et l'élimination des déchets, notamment dans les régions où la fragilité des écosystèmes nécessite une saine gestion des matières résiduelles», a, quant à lui, fait valoir le ministre Pierre Arcand, par voie de communiqué. www.enerkem.com/fr


Avec une production anticipée de 60 000 livres de sirop d'érable annuellement, le remplacement de l'évaporateur au mazout à l'érablière de l'entreprise Mundi Capital, à Villeroy dans le Centre-du-Québec, entraînera une réduction annuelle des émissions de gaz à effet de serre de 64,4 tonnes d'équivalent C02. (Photo : Site Web du CLD de L'Érable)

Un évaporateur d'eau d'érable électrique et plus de 80 500 $ pour une érablière
L'entreprise Mundi Capital, située sur le territoire de la MRC de L'Érable et plus spécifiquement dans la localité de Villeroy, a obtenu une aide financière de plus de 80 500 $ du gouvernement du Québec, le 10 juillet, pour remplacer un évaporateur d'eau d'érable au mazout léger par un évaporateur à l'électricité. Mundi Capital, qui possède et exploite une érablière de 17 460 entrailles, a bénéficié de ce soutien financier dans le cadre du Programme ÉcoPerformance.

C'est le ministre des Forêts, de la Faune et des Parcs et ministre responsable de la région du Centre-du-Québec, Laurent Lessard, qui a procédé, le 10 juillet, à cette annonce au nom du ministre de l'Énergie et des Ressources naturelles et ministre responsable du Plan Nord, Pierre Arcand.

«Mundi Capital est une entreprise avant-gardiste qui est constamment à l'affût de nouvelles technologies pour sa progression. Je constate avec fierté que l'appui de notre gouvernement lui permet de contribuer au développement économique de la région et aussi à la diminution de nos émissions de GES», a fait savoir Laurent Lessard dans un communiqué.

«Le projet de Mundi Capital constitue un geste de plus dans notre lutte contre les changements climatiques. L'instauration de mesures d'efficacité énergétique permettra d'augmenter le rendement de l'érablière tout en améliorant sa position concurrentielle, et ce, dans le souci de l'environnement», a déclaré, pour sa part, Pierre Arcand.

La production de Mundi Capital s'accroît constamment et atteindra un minimum de 60 000 livres de sirop d'érable en 2015.


«Actuellement, un évaporateur traditionnel au mazout léger est utilisé pour la production de sirop d'érable. Par cette technique, la très grande majorité de l'énergie utilisée pour faire bouillir l'eau d'érable est ensuite perdue par la vapeur ou évacuée par la cheminée. Le projet de Mundi Capital consiste à remplacer l'évaporateur au mazout par un évaporateur électrique à haut rendement énergétique. Ce nouvel évaporateur est en mesure de récupérer la quasi-totalité de l'énergie qui est contenue dans la vapeur émise. L'énergie ainsi récupérée servira à maintenir l'ébullition de l'eau d'érable et à réchauffer celle qui fait son entrée dans l'évaporateur», explique-t-on dans ce communiqué.

«Avec une production anticipée de 60 000 livres de sirop d'érable annuellement, le remplacement de l'évaporateur au mazout entraînera une réduction annuelle des émissions de gaz à effet de serre de 64,4 tonnes d'équivalent C02 en éliminant la consommation annuelle de plus de 23 500 litres de mazout léger. De plus, le projet permettra de retirer le réservoir de mazout du site, mettant ainsi fin à tout risque de déversement accidentel et annulera les livraisons de mazout par camion, diminuant ainsi les risques de déversement, conclut le gouvernement du Québec. www.erable.ca/cld


Élie Saheb, vice-président exécutif – Technologie à Hydro-Québec, et Alain Rousset, président du Conseil régional d'Aquitaine (France).

L'IREQ et la Région Aquitaine s'unissent pour soutenir la R&D sur les matériaux de batterie
La Région Aquitaine, en France, et l'Institut de recherche d'Hydro-Québec (IREQ) ont entériné, le 4 juillet, une entente de collaboration pour soutenir la R&D dans le domaine des matériaux de batterie avancés pour l'électrification des transports. L'entente a été ratifiée par Élie Saheb, vice-président exécutif – Technologie à Hydro-Québec, et Alain Rousset, président du Conseil régional d'Aquitaine.

«Pour de nombreux pays industrialisés, le stockage de l'énergie et le développement de matériaux de batterie performants, sécuritaires et à faible coût sont des enjeux prioritaires. Le stockage de l'énergie constitue un marché dont les prévisions de croissance augmentent de façon exponentielle et dont les principaux domaines d'application sont :

  • l’intégration des énergies renouvelables (éolienne, hydrolienne, photovoltaïque, hydraulique) ;

  • les réseaux de recharge rapide de véhicules électriques ;

  • les véhicules hybrides ou tout-électriques de transport (routier, ferroviaire, aéronautique et marin) et du secteur de la défense ;

  • les systèmes d'alimentation de secours et les électrogénérateurs hybrides ;

  • les bâtiments intelligents et les grands systèmes connectés», fait valoir Hydro-Québec, par voie de communiqué.


La société d'État rappelle qu'elle injecte des fonds depuis plusieurs années dans différentes technologies visant à améliorer la performance batteries électrochimiques et à les rendre plus sécuritaires.


«De son côté, la Région Aquitaine mène depuis quinze ans une politique volontariste en faveur de la recherche, de l'innovation et du développement industriel, auxquels elle consacre quelque 12 % de son budget annuel. Elle abrite sur son territoire et soutient des acteurs engagés dans les enjeux du stockage et de la mobilité électriques», ajoute Hydro-Québec.

L'IREQ œuvre dans le développement de matériaux évolués pour la fabrication de batteries, en créant des procédés d'avant-garde, et détient plus de 800 brevets et 40 licences liées à des matériaux utilisés par certains des plus grands fabricants de batteries et fournisseurs de matériaux de batterie au monde. Cet institut conclut des partenariats pour des projets de recherche et d'innovation avec des entreprises privées, des universités, des agences gouvernementales et des centres de recherche au Québec et à l'étranger, afin de développer, d'industrialiser et de commercialiser les technologies découlant de tels projets. www.hydroquebec.com, www.aquitaine.fr


Aref Salem, responsable du transport au comité exécutif de la Ville de Montréal, Thierry Vandal, président-directeur général d'Hydro-Québec et représentant du Circuit électrique, et Pierre Arcand, ministre de l'Énergie et des Ressources naturelles et ministre responsable du Plan Nord.

Les bornes de recharge sur rue pour VE font leur apparition à Montréal
Les premières bornes de recharge sur rue pour véhicules électriques (VE) sur le territoire de la Ville de Montréal ont officiellement été mises en service le 2 juillet.

Le ministre de l'Énergie et des Ressources naturelles et ministre responsable du Plan Nord, Pierre Arcand, a procédé à leur inauguration lors d'une conférence de presse au centre-ville de Montréal. Une première borne double est située dans le Quartier international, sur la rue Gauvin, à l'angle de la rue Saint-Jacques. La seconde se trouve dans le Quartier des spectacles, sur la rue Saint-Urbain, à l'angle du boulevard René-Lévesque Ouest.

Ces nouvelles bornes sont identiques aux bornes à 240 volts déployées hors rue. Cependant, le câble des bornes sur rue est suspendu à un système de rappel pour éviter qu'il touche le sol et qu'il entrave entre autres l'entretien de la rue et du trottoir.
Les conducteurs peuvent payer les frais de recharge de 1 $ l'heure à la borne du Circuit électrique au moyen de leur carte d'accès. Par la suite, ils doivent acquitter les frais de stationnement à la borne de paiement de Stationnement de Montréal durant les heures applicables. La Ville de Montréal récupèrera entièrement les revenus qui proviendront de l'utilisation des bornes de recharge qu'elle a acquises.

Flanqué du responsable du transport au comité exécutif de la Ville de Montréal, Aref Salem, et du président-directeur général d'Hydro-Québec, Thierry Vandal, qui représentait le Circuit électrique, le ministre Arcand a expliqué que le déploiement de ces bornes constituera un projet pilote d'un année pour permettre à la Ville et au Circuit électrique de déterminer la nature et l'envergure des besoins liés à la recharge publique sur rue, en fonction du tissu urbain et du climat québécois.

«Cette initiative permet à Montréal et au Circuit électrique de se positionner à l'avant-garde de ce qui se fait en matière de recharge publique pour véhicules électriques, a affirmé Pierre Arcand.

Le Circuit électrique compte à ce jour une borne de recharge rapide à 400 volts et près de 300 bornes de recharge à 240 volts, en service notamment dans les stationnements de l'AMT et de plusieurs magasins RONA, épiceries Métro et rôtisseries St-Hubert sur le territoire québécois. Depuis son inauguration en mars 2012, 68 partenaires privés et institutionnels se sont joints à ce réseau. lecircuitelectrique.com


Un Québécois médaillé d'argent en installation électrique aux OCMT 2014
Un Québécois a raflé une médaille d'argent lors des Olympiades canadiennes des métiers et des technologies 2014 (OCMT 2014) qui se sont tenues du 4 au 7 juin à Mississauga, en Ontario, et ce dans une catégorie liée au secteur de l'électricité.

Il s'agit de Simon Vigneault qui s'est mérité une seconde place dans la catégorie «Installation électrique 18S».

«Les Olympiades canadiennes des métiers et des technologies constituent la seule compétition nationale pour de multiples domaines spécialisés et destinée aux étudiants et aux apprentis du pays. Chaque année, plus de 500 jeunes des quatre coins du Canada se réunissent aux Olympiades pour prendre part à des concours pour au-delà de 40 métiers et technologies.», peut-on lire sur le site Web de Skills/Compétences Canada.

«En fournissant aux jeunes l'occasion de se mesurer à leurs pairs de partout au pays, SCC leur procure aussi une expérience pratique reliée aux métiers et aux technologies. En outre, par ces concours, Skills/Compétences Canada veut faire découvrir ces domaines spécialisés aux jeunes et aux personnes qui les influencent», lit-on encore.

Les prochaines OCMT se dérouleront du 27 au 30 mai 2015 à Saskatoon, en Saskatchewan. www.skillscanada.com


NOUVEAUX PRODUITS

Standard Products dévoile la lampe écoénergétique A19
La lampe écoénergétique A19 de Standard Products offre la même intensité lumineuse qu'une lampe incandescente traditionnelle, tout en consommant 28 % moins d'énergie. Selon le fabricant, elle a été conçue pour répondre à toutes les normes d'efficacité tout en alliant esthétisme et luminosité agréable. Produisant une lumière blanche étincelante, la lampe A19 peut fonctionner à intensité variable et dans des luminaires encastrés.
STANDARD PRODUCTS


ByteLight et GE illuminent le magasinage social
Au Lightfair 2014, GE Éclairage et ByteLight ont présenté la nouvelle génération de luminaires DEL, lesquels communiquent avec les appareils intelligents des clients pendant qu'ils sont en magasin, permettant aux détaillants d'offrir des services basés sur la localisation à partir de leurs propres infrastructures DEL. La technologie de localisation de ByteLight intégrée dans les luminaires DEL de GE permet de livrer des «applications à valeur élevée aux détaillants», offrant la capacité de connaître l'endroit précis où se trouvent les clients grâce à une application alimentée par ByteLight sur leurs téléphones intelligents et leurs tablettes. La solution combine la communication par lumière visible (VLC), la faible consommation d'énergie Bluetooth (BLE) et des capteurs inertiels. Elle est compatible avec n'importe quelle application Android ou iOS sur un appareil intelligent doté d'une caméra et/ou de la technologie Bluetooth Smart.
BYTELIGHT / GE

CALENDRIER

Conférence annuelle du CIGRE, 22 - 24 septembre. Conférence du Conseil international des grands réseaux électriques (CIGRE) Canada se déroulera à Toronto, Ontario.

Conférence annuelle NECA, 27 - 30 septembre. La National Electrical Contractors Association (NECA) tiendra sa conférence annuelle à Chicago, Illinois.

Conférence annuelle CANEW, 29 septembre - 3 octobre. L'Association électrique des aéroports canadiens (CANEW) présentera sa conférence annuelle à Regina en Saskatchewan.

64e Congrès annuel CMEQ, 24 - 25 octobre. La Corporation des maîtres-électriciens du Québec tiendra son 64e congrès annuel au Fairmont Tremblant, Mont-Tremblant, Québec.

Congrès CanWEA 2014, 27 - 29 octobre. CanWEA 2014, le congrès annuel de l'Association canadienne de l'énergie éolienne et son salon professionnel, se dérouleront au Palais des congrès de Montréal.

Conférence annuelle Mobilité Électrique Canada, 28 - 30 octobre. La conférence annuelle et le salon commercial sous le thème «Les électriCITÉS — prenez le virage électrique», auront lieu au Sheraton Wall Center de Vancouver, en Colombie-Britannique.

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